Mot de l’éditorial
Aux lectrices et aux lecteurs,
C’est avec grand plaisir que nous relançons Calembour, la revue faisant l’éloge de la créativité et de l’originalité de nos talentueuses étudiantes et de nos talentueux étudiants de l’Université d’Ottawa.
Le présent numéro s’attarde à un thème en particulier : la fuite. Il a été choisi dans le but de s’inscrire dans le discours littéraire actuel, en plus de miser sur les vastes possibilités polysémiques qu’un thème pareil pouvait offrir. En feuilletant ce numéro, vous rencontrerez ainsi des sentiments de honte, de peur, de déchirement et de regret. Vous pourrez y lire une histoire de famille, un récit mythologique rencontrant le monde de la peinture et des poèmes. Des textes abordant la fuite d’un point de vue intérieur et extérieur. Dans les dernières pages de ce numéro, vous trouverez les trois textes des lauréat·e·s du concours d’écriture de l’Association étudiante du Département de français (AÉDF) de la session d’hiver 2023. Nous tenons encore une fois à les féliciter pour leurs textes.
Calembour est le produit de la collaboration de plusieurs personne. C’est pourquoi nous voulons à notre tour rendre hommage aux tisserandes et aux tisserands, aux petites mains de la revue, sans qui l’aboutissement de ce projet littéraire n’aurait été possible. D’abord, nous aimerions remercier celles et ceux qui ont répondu à notre appel de textes car sans vous, ce mot de l’éditorial ne pourrait exister. Nous tenons aussi à mettre l’accent sur le rôle de l’AÉDF qui a permis de passer de l’ambition et de la conception à la réalisation concrète de Calembour. Nous remercions chaleureusement Mounira Khoris, qui a accepté de faire les illustrations de ce numéro de Calembour ainsi que de moderniser la couverture de notre revue. Son talent amène une touche de magie et vient complémenter les textes reçus. Enfin, nous vous remercions, chères lectrices et chers lecteurs, puisque votre lecture de ces quelques lignes marque une première réussite de notre part, après quelques années d’inactivité de Calembour. Nous aimerions également porter à votre attention que ce projet est toujours en cours et que notre travail est appelé à évoluer. Ainsi, tout comme l’être humain qui est toujours en devenir, nous reconnaissons qu’il peut y avoir certaines imperfections dans ce premier numéro. Nous vous demandons donc de nous faire part de toute critique constructive que vous jugez être pertinente à notre adresse courriel, soit aedf.pres@artsuottawa.ca.
N. B. Par soucis de transparence, nous souhaitons souligner le fait que certains membres du comité éditorial ont pu proposer des textes en raison du faible taux de participation du corps étudiant lors de notre appel de textes et du désir d’avoir un numéro riche et complet. Nous encourageons donc les étudiantes et les étudiants à envoyer leurs créations pour le prochain appel de textes, car cela permet une belle diversité de plumes au sein de la revue Calembour.
~ Le comité éditorial
AÉDF 